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Le droit des forces échangeant pour signaler les opérations et contrepoids du bitcoin et l’argent électronique.
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L’agence fiscale peut saisir des obligations cryptoactives et correspondantes avec les banques.
Le Conseil des ministres d’Espagne a approuvé mardi, dans le deuxième examen, le projet de loi pour transposer le conseil d’administration du DAC8 de l’Union européenne, une étape décisive pour renforcer le contrôle budgétaire sur le bitcoin (BTC) et les crypto-monnaies en Espagne. La norme, qui va maintenant au Congrès pour le traitement, permettra au Trésor de connaître les actifs numériques que les citoyens ont à l’étranger, à s’autoriser.
La loi obligera les fournisseurs de services cryptactifs pour informer le Trésor des opérations, des équilibres et des données des utilisateurs, couvrant le bitcoin, les crypto-monnaies, les jetons utilisés pour acquérir des biens ou des services électroniques et de l’argent.
Tout cela fait partie des ajustements effectués par l’Espagne avec les réglementations DAC8 de l’Union européenne, axée sur l’échange automatique d’informations fiscales entre les pays membres. Cela signifie que la norme permettra à l’Espagne de recevoir des données d’autres États et des tiers avec des accords d’échange sur les cryptoactifs des résidents espagnols.
La Commission européenne estime que ces réglementations augmenteront 2,4 milliards d’euros supplémentaires dans l’UE grâce à un meilleur contrôle budgétaire.
Selon le communiqué publié par le ministère des Finances, cette mesure renforcera particulièrement le contrôle des actifs numériques situés à l’étranger, fermant les lagunes dans la fiscalité de ce secteur en plein essor.
L’une des nouveautés les plus remarquables du projet est l’autorisation de l’agence fiscale pour Embar Bitcoin, crypto-monnaies et autres biens déposés Dans le paiement et les entités en argent électronique pour régler les dettes fiscales, ce qui n’en a pas envisagé le cadre réglementaire actuel, comme l’a souligné l’avocat Cristina Carrascosa.
Cette capacité, jusqu’à présent limité aux comptes bancaires traditionnels, marquera une nouvelle étape de la fiscalité espagnole. De plus, ces Les entités seront obligées de signaler des informations sur les comptes et les soldes de leurs clientss’alignant sur les exigences des banques traditionnelles.
Le projet répond à l’obligation de transposer le DAC8 avant le 31 décembre 2025, avec entrée en vigueur prévue le 1er janvier 2026. Les premiers rapports sur le Bitcoin et les participations de crypto-monnaie par les Espagnols à l’étranger sont attendus en 2027, couvrant les opérations de l’année précédente.
Carrascosa, qui a participé au processus avec l’agence fiscale, a souligné l’importance de la collaboration publique-privé: “J’espère que travailler ensemble dans les normes techniques et changeantes, telles que celles qui affectent l’innovation, est le seul moyen d’approuver des lois équitables, sensées et efficaces. Je serai toujours disponible pour continuer à y travailler.”
L’Espagne ajoute des efforts pour surveiller les actifs numériques orientés par les lignes établies par l’Union européenne qui a déjà le règlement du MICA.
En bref, le nouveau projet de loi qui est maintenant au Congrès d’Espagne doit toujours dépasser la procédure parlementaire, mais marque déjà un nouvel épisode dans l’évolution de la fiscalité espagnole à l’économie numérique. Ceci avec des sanctions planifiées pour ceux qui ne respectent pas les obligations proposées selon lesquelles, bien qu’elles soient toujours définies, on estime qu’ils varient de 20 000 euros à 500 000 euros, selon la gravité de l’infraction et le volume du chiffre détecté.
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