Faits marquants:
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Layer N, une solution d’évolutivité Ethereum, hébergera cette nouvelle plateforme.
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Sushi est la société qui a créé le célèbre échange décentralisé SushiSwap.
Sushi, la société à l’origine du développement de SushiSwap, un échange décentralisé (DEX) dans l’écosystème Ethereum (qui s’est ensuite étendu à d’autres réseaux), s’apprête à déployer un nouveau projet dans le monde des produits dérivés, qui ouvre les portes d’un éventuel airdrop. .
La nouvelle plateforme présentée par Sushi s’appelle Susa. Il sera spécialisé dans le marché des produits dérivés décentralisés et sera construit sur Layer N, une solution d’évolutivité pour Ethereum, explique un communiqué.
La couche N, une couche 2 « hautes performances », est conçue comme un réseau de paquets « cumulatif personnalisé et optimisé », et Susa exploitera ces fonctionnalités pour combler l’écart dans le trading de produits dérivés décentralisé.
Susa envisage d’être une bourse offrant des services variés et, même si elle se spécialisera dans les produits dérivés, elle mettra également en œuvre ultérieurement le trading au comptant.
L’une des caractéristiques marquantes de Susa, si tout se passe selon les promesses des développeurs (ce qui n’arrive pas toujours), sera son capacité à traiter plus de 100 000 transactions par seconde avec des périodes de latence inférieures à 1 milliseconde, grâce au Layer N Nord Engine, précise le communiqué. Cette vitesse de transaction placera le DEX en concurrence directe avec ses homologues centralisés.
Bien que l’équipe de développement de Susa n’ait confirmé aucun airdrop, on peut supposer qu’elle effectuera une livraison de jetons via cette modalité, au cas où la bourse déciderait de décentraliser sa gouvernance. Il s’agit d’une stratégie qu’il utilise fréquemment car elle peut aider à attirer de nouveaux utilisateurs, à récompenser les utilisateurs existants, à générer des liquidités, à promouvoir la décentralisation et à accroître la notoriété de la marque.
Comme l’a rapporté CriptoNoticias, fin janvier, un airdrop avec le lancement d’un échange décentralisé appelé Jupiter, basé sur le réseau Solana. Le largage de Jupiter a été évalué à 700 millions de dollars, grâce à la distribution de 1,35 milliard de jetons JUP.